Nous avons récemment réalisé une enquête à travers l’Europe pour décoder les nouveaux besoins de mobilité post-confinement, concernant entre autres les modes de transport ou les destinations de vacances. 2120 personnes nous ont fait part de leurs perspectives et les résultats nous ont intrigués ! Continuez la lecture pour en savoir plus sur les envies et priorités des européens post confinement.
Les copains (et la famille) d’abord !
Quand nous vous avons demandé quelle était la première chose que vous vouliez faire, vous avez été 43% à répondre à l’unisson : “revoir mes proches”. 21% ressentent le besoin de se ressourcer et 18% rêvent de se promener ailleurs que dans leur voisinage.
Coquillages et crustacés
Vous êtes 63% à vouloir absolument partir durant quelques jours, et ce dès que possible. La majorité espère faire du tourisme local : on n’est jamais aussi bien que chez soi. 65% d’entre vous se voient déjà les pieds dans le sable, en train de bronzer et de siroter une boisson fraîche au son des grillons. Enfin, votre second choix se porte sur la campagne verdoyante.
Partir un jour… en voiture
Pour les trajets de plus de 100km, la voiture est le choix de prédilection à 71%. Autrement dit, une augmentation de 20% causée par l’hésitation face aux transports en commun. L’intention de prendre le train et l’avion baisse de 10% pour chacun de ces modes de transport.
Auto boulot dodo
La voiture est également le mode de transport le plus prisé pour aller au travail : 50% d’entre vous conduiront matin et soir. Les transports en commun restent la solution pour 18% des répondants et pour 11%, c’est la marche qui l’emporte.
Un bouleversement des codes
Durant cette situation exceptionnelle, le réflexe pour la majorité est donc de privilégier la voiture. Cependant 64% des personnes possédant une voiture envisagent de s’en séparer. Pourquoi ? Encore une fois les réponses sont diverses et variées : un tiers ne s’en sert que très peu quotidiennement, 25% prévoient une baisse de leurs dépenses face à une crise économique latente et enfin, 18% s’inquiètent de l’impact environnemental.
Continuer d’utiliser la voiture tout en se séparant de celle qui est déjà dans notre garage ? Cela peut sembler compliqué au premier abord. La solution est plus simple qu’il n’y paraît : la hausse des options à la demande qui sont à la fois flexibles et abordables remettent en cause le besoin de posséder une voiture. Nombreux sont ceux qui, comme Alex, optent pour une nouvelle alternative à la voiture personnelle.
La crise du Covid-19 a réellement changé notre façon de vivre. Cette nouvelle réalité sera caractérisée par une valeur plus importante que jamais accordée à la famille et aux amis, le soutien des économies locales et une nouvelle mobilité.
